Soyokaze Shuruba (non terminée

Nom:

Shuraba (sanglant)

Prénom:

Soyokaze (brise)

Age:

367 ans

Genre(shinigami, humain, traitre, Quincy...) :

Vizard

Description Physique:

Le Vizard ressemble à une fille. Du moins, le visage. Explications peut être ? C’est simple, son visage est fin, ses yeux, en amandes de couleur rouge sang expriment très bien ses émotions. Lorsqu’il est joyeux, une petite lueur danse dans cet espace rouge, lorsqu’il est en colère, ses yeux s’assombrissent, et son regard est à glacer le sang. Ses sourcils noirs, bien dessinés, contrastent avec la couleur de ses cheveux. Son petit nez ainsi que sa bouche fine accentuent son physique androgyne. Sans compter sa peau mate et douce. Soyokaze, pourquoi l’a-t-on appelé ainsi ? Sa couleur de cheveux, oui, tout simplement. Ils sont d’un blanc immaculé, très longs, il ne les coupe seulement lorsque ça devient une gêne au combat. Ils sont d’ailleurs coiffés pour représenter la beauté sauvage du garçon. Attachés par un bout de tissu noir en arrière, assez loin du cou pour ne pas le gêner. Deux mèches tombent de chaque côté de son visage. Cela va sans dire que la longueur de sa chevelure appuie encore plus son visage efféminé.

Passons au reste à présent. Son corps svelte et élancé est sculpté de manière très soigneuse. Son torse, tout comme le reste est finement musclé, sans avoir de muscles gigantesques, une fine cicatrice barre son dos, partant de l’épaule droit allant jusqu’au côté gauche de son bassin. Celle-ci fut faite lors d’un combat raconté plus tard. Ses bras musclés par des heures d’entraînements ne portent aucune marque ou de cicatrice. Non qu’il n’en ait jamais reçu, mais pas d’assez grave pour laisser un trace de passage sur son corps. Ses mains sont fines et raffinées, ressemblant énormément à celles d’une jeune femme. Quels que soit le moyen, Soyokaze cherche toujours à cacher le dos de ses mains. Pour une raison bien précise.

Passons à son style vestimentaire. Lorsqu’il était vivant, ses habits se composaient, d’un kimono bleu sombre et blanc, avec une sorte de longue veste large des mêmes couleurs où un dragon y était dessiné. A ses mains, se trouvaient les mêmes « gants » que Byakuya, à la seule différence que les siens étaient mauves. A ses pieds, des tabis, lorsqu’il en avait l’occasion, le jeune homme préfère marcher uniquement avec ça, sinon, il portait des sandales habituelles. A son côté se trouvait son sabre, simple et raffiné à la fois, il était dans un fourreau noir, et sa lame, d’un blanc étincelant avait une lame très effilée. Dans son kimono se trouvait également un petit poignard (tanto) dont il se servait lors des assassinats discrets.

Lorsqu’il devint Shinigami, Soyo adopta la tenue règlementaire de chaque guerrier. Soit, un kimono noir et blanc, mais il garda ses « gants » sauf qu’il les changea de couleur blanche. Tout le temps qu’il fut à la Soul Society, le garçon resta simplement avec des tabis, tout comme Tôshiro. Son Zanpakutô n’avait qu’une différence avec celui de son vivant, une brise était gravée à côté du nom du sabre. La seule touche qui le différenciait des autres était qu’il portait toujours sa longue veste, tout comme Kyouraku porte la sienne (un peu de couleur pardi !). Les armes que Soyokaze avait en plus, de son vivant disparurent, et furent remplacer par les formes libérées de son Zanpakutô.

Pour finir avec les vêtements, dans le monde actuel, en temps que Vizard, le jeune homme a bien du mal à s’accoutumer aux vêtements de ces temps. Se faisant passer pour un élève du lycée d’Ichigo, il porte, la plupart du temps, l’uniforme des lycéens. Soit, une chemise blanche avec une cravate et un pantalon gris (en général on le regarde de travers, car on a l’impression que c’est une fille dans un uniforme de garçon). Au sinon, lors des combats il reprend sa tenue de son vivant. Lorsque « l’adolescent » n’est ni au lycée, ni en train de se battre, il porte une chemise blanche, un pantalon noir ainsi qu’une veste noire (quelques fois il rajoute la cravate noire aussi…). Bref, vous l’aurez compris, son style vestimentaire est relativement sérieux et gracieux.

Et pour terminer, les signes particuliers et la corpulence. Alors, de taille moyenne, Soyokaze mesure un mètre soixante et onze (ce qui est relativement grand pour un homme de son époque), il est musclé et mince, poids plume, il ne pèse que soixante et un kilogrammes. Pour ses signes particuliers, le Vizard a sa cicatrice barrant son dos (décrite plus tôt) et… un caractère spécifique à lui. Sur le dos de sa main gauche, on peut voir une marque réservée aux personne qui ont commis un délit très grave (et qu’on a réussit à attraper) dans l’enceinte du Seireitei. C’est un tatouage formant un papillon de l’Enfer, les personnes portant cette marque sont généralement condamnées à mort, mais dans le cas du garçon, on le pourchasse. Et, sur sa main droite, une marque de sa « hollowfication », en effet, Soyo n’a pas réussit à prendre totalement le dessus sur son Hollow intérieur, c’est pour cela que la peau du dos de sa main est blanche au milieu et redevient à sa couleur naturelle en s’éloignant. Vous l’aurez compris, sa peau blanche est la peau de son hollow.


Description Morale:

Soyokaze est un garçon plutôt discret. Renfermé sur lui-même il ne parle quasiment à personne. Même si le Vizard est très peu bavard, c‘est un grand penseur. Passant son temps à réfléchir sur plusieurs choses, comment améliorer ses techniques de combats, comment ne pas se faire rattraper par la Soul Society, pourquoi sa « vie » est elle ainsi, comment a-t-il put en arriver ici alors que c’est une personne très loyale et un bon soldat. En effet, le mauvais sort s’acharne sur lui depuis le jour où il a pointé le bout de son nez dans le monde des vivants. Le banni a une très mauvaise image de lui, se rabaissant et ne voyant pas ses points forts. Il n’a certes, pas une très grande confiance en lui, mais en combat, c’est tout à fait différent. Prenant conscience de ses points faibles, il connaît aussi ses points forts pour les utiliser. Modeste…oui il l’est. Pas du tout complexé par son apparence de fille par contre, il est normal pour un samouraï d’avoir les cheveux longs, en fait, le « lycéen » se demande pourquoi autant de gens portent les cheveux courts à cette époque ci.

Que dire d’autre, Soyo peut paraître froid et on peut même croire qu’il méprise les gens et les prend de haut et…ce n’est pas totalement faux. S’étant construit une carapace depuis son plus jeune âge, pour rentrer dans les exigences de ses proches. Pour qu’il devienne un guerrier exemplaire. C’est pour cela qu’il n’a jamais eu d’amis entre autres. Ne montrant quasiment jamais ses sentiments, le Vizard n’a même pas versé une larme à l’exécution de ses parents. Mais en réalité, c’est une personne d’une grande sensibilité. Et il a sans doute versé toutes les larmes de son cœur à l’intérieur de lui-même. S’inquiétant beaucoup pour les autres même s’il ne le montre pas. Une chose que le garçon est devenu avec le temps, changer de camps du jour au lendemain ne lui pose absolument pas. Un jour neutre, le lendemain avec Aizen et le jour d’après contre lui. C’est une sorte de mercenaire en fait. N’ayant pas d’avis propre. C’est à ça que l’androgyne est réduit. A la base étant un des représentants de la Soul Society, à présent ce n’est qu’un Vizard errant.

Ses goûts à présent. Commençons par ce que le jeune homme aime. La première chose qu’il répond quand vous lui demandez, il répondra automatiquement, « L’art ». Quelle que soit sa forme. Mais Soyokaze a une préférence pour la peinture et l’art du combat. Quand on le regarde se battre, on dirait que le Vizard danse, porté par l’air, mais si c’était vraiment une danse, c’en serait une bien triste. Oui, lorsqu’il combat, son visage est mélancolique. Qu’aime-t-il d’autre sinon…l’élégance, le banni ne supporte pas la force à l’état brute. Sinon ? En fait…c’est étonnant venant de sa part, mais l’ancien Shinigami adore les sucreries. Seulement, il n’avait pas le droit d’en manger lors de son vivant. Mais collez lui un gâteau à la fraise sous le nez, au départ il ne va rien laisser paraître mais laissez le trente secondes tout seul et il le dévore. Dernière chose, Soyo aime le vent, lui laissant l’illusion qu’il est libre et bien sûr, son sabre, puisque c’est son seul compagnon depuis toujours.

Ce qu’il n’aime pas maintenant. Alors, en général, les personnes qui se battent pour se battre sans raison particulière, juste parce que la violence les amuse. Mais, bien sûr, il y a des exceptions, ceux qui aiment se battre mais qui ont une raison noble de le faire. Sinon Soyokaze n’aime pas le Hollow qui est en lui. Surtout parce qu’il n’arrive pas à le contrôler totalement. En effet, des fois le Hollow prend la place de sa raison et il devient alors tout ce que sa vraie personnalité déteste, soit, une brute sans sentiments. Sinon, le jeune homme n’aime pas perdre le contrôle des choses. En effet, habitué à gérer ses faits et gestes seul, calculateur qui plus est, si ce qu’il se passe n’est pas comme il était prévu…le Vizard pète un câble pour ainsi dire.

Voilà, c’est le principal en ce qui concerne Soyokaze.

Désolé, ça tient pas, je finis ma fiche ici.

Histoire :

~ ~ De son vivant ~ ~

Dans une demeure du début de l’ère Edo, naquit, un soir enneigé, un jeune garçon. Sa mère mourut suite à l’accouchement, comme c’était le cas de beaucoup de mères à cette époque. Son père, avait une mine sévère, de longs cheveux noirs cascadant dans son dos, des yeux rouges sang. Habillé d’un kimono, un sabre reposait à côté de lui. Un samouraï sans aucun doute. La mort de sa femme l’attrista, mais il ne le montra pas. Un guerrier tel que lui n’a pas à montrer des sentiments futiles tels que la tristesse. Ce fut seul, donc, que cet homme s’occupa de son fils, et lui donna un nom : Soyokaze. L’enfant grandit dans l’environnement réservé aux samouraïs. Son père faisait partit de l’élite du Japon, Tora Shuruba, le tigre sanglant. Peu de ses adversaires sont ressortit d’un combat avec lui vivant. Comme le veut la coutume, Soyo reçu une éducation Spartiate.

Cela commença dès l’âge de cinq ans. Son père l’emmena de nombreuses fois aux exécutions des prisonniers. Le jeune garçon dut s’habituer très tôt à la vue du sang. A chaque fois qu’il était effrayé par le liquide, il recevait une sévère correction de la part de son père. Souvent, on lui demander de se rendre sur la place d’exécution tard dans la soirée et de ramener la tête décapitée. De nombreuses fois, on retrouvait Soyokaze effondré de peur, pleurant toutes les larmes de son corps tellement il était effrayé. Mais, au fur et à mesure du temps, le jeune homme s’y habitua. A dix ans, il était devenu complètement impassible. Manger un plat de riz de couleur sang ne lui posait plus aucun problème.

A onze ans, il se vit offrir son sabre, celui qui l’accompagnerait tout le long de sa vie. Mais, pour s’entraîner, il devait utiliser un sabre, plus petit. Le grand étant scellé, il ne pouvait l’utiliser que lorsque son père lui en donnerait le droit. Il s’avérait, que le jeune garçon avait un style de combat, très efficace et très artistique. On aurait dit que Soyo se laissait porter par le vent, il combattait avec une telle légèreté qu’on pouvait se demander s’il faisait réellement mal. La réponse, était bien sûr, oui. Un génie, oui il en était, il réussit à battre son professeur à l’âge de quinze ans. A mains nues, il n’était pas mauvais, en ce qui concernait le tire à l’arc et le maniement de la lance, par contre, il avait des difficultés. Son père, était très fier de lui, mais ne le félicitait jamais, se montrant de plus en plus dur avec son fils. Telle était sa façon de l’encourager.

Parmi les autres futurs samouraïs, il était le seul à être à l’écart. Jamais Soyokaze n’eut un seul ami de son vivant. Pourquoi ? Il n’en sut jamais rien. A seize ans, le jeune homme entra dans l’armée de Nobunaga. Brillant, les Shuruba père et fils faisaient des étincelles lors des combats. Mais, un jour se produit un drame. L’épouse de Nobunaga Oda fut blessée lors d’une rébellion contre le shogun. Le seigneur ordonna à Tora de se transpercer le ventre. Ce dernier obéit, comme le veut la coutume. Lors de la cérémonie de mise à mort, bien que cela fût fait de bon gré, cet acte resta pour le reste de l’existence de Soyo, un assassinat. Suite à la mort de son père, il fut exilé de la capitale.

C’est à dix-neuf ans que le garçon mourut, prit dans un affrontement. Ce fut la pire mort pour lui, dans le déshonneur et dans la tristesse de la perte de son père, même s’il n’avait pas pleuré une seule larme, l’absence de son père lui déchira le cœur. C’est alors qu’il devint une âme errante.

~ ~En tant qu’âme errante~ ~

Sa « vie » en tant qu’âme fut relativement courte. Elle ne dura que quelques semaines. Au début, le jeune homme errait dans les villes, mais, même mort, jamais il ne s’approcha de Tokyo. La première fois qu’il rencontra un Hollow, ce fut un soir de pleine lune. Alors que Soyokaze marchait dans les rues désertes, il entendit un rugissement sourd. Par reflexe, il posa sa main sur le manche de son sabre et le tira de son fourreau. Lorsque le monstre se montra, le « fantôme » lui assena un violent coup de sabre, mais cela ne l’égratigna même pas. Conscient de sa faiblesse, l’ancien Samouraï partit, les jambes à son cou. Habituellement, il n’aurait pas réagit ainsi, mais, cela fait depuis quelques années déjà qu’il n’est plus dans son état normal.

Ainsi se résumaient ses journées. A errer dans les villes et à fuir les monstres. Mais, chaque jour un peu plus, la tristesse l’envahissait. Et, alors que Soyokaze se transformait en Hollow, une personne, en Kimono noir apparut devant lui. C’était un homme, qui paraissait avoir une vingtaine d’années trancha le garçon en deux avant même qu’il put termner totalement sa transformation. Ainsi, il rejoignit le Rukongai comme une âme normale.

~ ~Vie au Rukongai~ ~

Lorsque le jeune homme arriva au Rukongai, ce fut dans le quatrième district. Un endroit, plutôt sûr donc. Sa vie était plutôt paisible, il passait ses journées à s’entraîner avec son sabre. Au début, il passait toutes ses journées à chercher son père, mais ne le trouva pas. Sa famille de substitution, faisait partit de la classe bourgeoise du Rukongai. Souvent, le garçon se promenait dans les rues, traversant districts sur districts. Il pouvait partir deux semaines sans rentrer chez lui. Un jour, après avoir « voyagé » à travers les quartiers, il arriva dans le dernier district. Bien sûr, Soyokaze s’était aperçut que le civisme se perdait au fur et à mesure qu’on s’éloignait du Seireitei, mais arriver à un tel point de décadence l’étonna.

On le provoqua de nombreuses fois en duel. Normal, il portait un sabre. Mais ceux avec qui le garçon se battait n’étaient pas des hommes entraînés durs, donc, ce fut avec facilité, la majorité du temps, qu’il se débarrassait d’eux. La vie que menaient les gens du district Zaraki le mettait mal à l’aise, c’est pour cela, que Soyokaze s’empressa de rentrer chez lui. Dans le quatrième district, beaucoup plus calme. Le voyant s’entraîner tous les jours, sa famille de substitution lui proposa de participer à l’examen pour pouvoir aller à l’académie. Cela ne lui était jamais venu à l’esprit, mais, la vie monotone qu’il menait l’ennuyait quelque peu, c’est pour cela qu’il tenta sa chance. Il fut reçu dans la première classe de l’Académie.

~ ~En tant que Shinigami~ ~

En réalité, Soyokaze était en fait, de la même génération que Byakuya, Gin et Matsumoto, c’est pour ça, aussi, qu’il se retrouva dans la même classe qu’eux. Mais, on va dire qu’il ne leur avait quasiment pas parlé. Lors des simulations de combat, il était tombé quelques fois sur chacun d’eux. Même s’il était relativement fort…on va dire qu’il ne valait pas encore Byakuya et Gin. Mais rivalisait facilement avec Matsumoto. Lui qui était considéré comme prodige en son vivant, était certes, dans les meilleurs, mais n’était pas encore de la crème de la crème. Mais, en s’exerçant dur, il réussit, peu à peu à être, plus ou moins, au niveau de deux autres.

Byakuya, était, à cette époque, l’opposé total de Soyo. En effet, la personnalité actuelle du capitaine de la sixième division se rapproche plus du caractère de l’androgyne que celui de l’époque. Il s’énervait pour un rien et criait facilement sur les autres. Faisant partit d’une des quatre grandes familles, certains capitaines prenaient un malin plaisir à le taquiner d’ailleurs, ce qui avait pour don de l’énerver. Bref, les années passèrent et Soyokaze gagnait en puissance, et comme prévu, il eut, à la fin de ses études, un Zanpakutô.

La première division dans laquelle le nouveau Shinigami rentra fut la huitième division, celle de Kyouraku Shunsui. Une nuit, un incident se passa. Une force mystérieuse avait été repérée dans la Soul Society, plusieurs capitaines et lieutenants furent envoyés sur place. Soyokaze suivit son vice Capitaine, Lisa, et arriva sur les lieux. Tout ce qu’il eut le temps de voirk c’était le capitaine Muguruma Kensei, en hollow attaqua ses amis. Mais, il fut frappé par derrière et s’évanouit. Lorsque le garçon se réveilla, ce fut dans les quartiers de la quatrième division. Lorsque le jeune homme fut de nouveau sur pied, il s’empressa de tout raconter à son Capitaine. Enfin tout…le peu qu’il avait vu.

Suite à cet incident, on l’envoya dans la cinquième division, où il put revoir son camarade de classe, Gin. Ce fut dans cette division que Soyokaze apprit à maîtriser son Shikai. Aizen l’aida beaucoup dans sa tâche, et le jeune homme lui en était très reconnaissant. En étant dans cette escouade, le Shinigami eu plus l’occasion de nouer des liens avec Ichimaru. Ce n’était pas vraiment une grande amitié, mais les deux hommes étaient plus ou moins proches. Au fur et à mesure du temps, les quatre camarades montèrent les échelons. Byakuya succéda à son grand-père au rang de Capitaine de la sixième division, Matsumoto arriva au rang de vice-capitaine de la dixième division, Gin remplaça Rose dans la grade de Capitaine de la Troisième division et Soyo se retrouva vice-capitaine de la sixième, eh oui, c’est le prédécesseur de Renji à ce titre.

Les années passaient, et Soyokaze avait réussit à obtenir et maîtriser son Bankai aussi bien qu’un Capitaine. Arrivant alors le moment où tout s’écroula. Le Shinigami fut accusé de haute trahison. En effet, apparemment, le « jeune » homme avait gardé des séquelles du moment où il s’était à demi transformé en Hollow. Et, sans qu’il ne puisse rien y faire, il perdait le contrôle de son corps. Et, bien qu’il ait essayé de le cacher, une partie de sa peau était totalement blanche au niveau de sa main. On lui apposa une marque sur le dos d’une de ses mains et on le condamna à mort. Mais, avec les évènements qui se produisaient sur Terre (une Shinigami nommée Rukia, avait apparemment commit un crime en donnant ses pouvoirs à un humain) le garçon réussit à s’échapper.

Dans sa fuite, Soyokaze dû se battre avec Matsumoto qui le blessa gravement au dos. D’où sa cicatrice.

~ ~Sa vie de Vizard~ ~

De nouveau arrivé sur terre, Hirako et sa bande le prirent sous leur aile. Bien qu’au début, le jeune exilé refusa catégoriquement leur aide il finit par se laisser convaincre. Ainsi, il réussit à maîtriser son Hollow…ou presque. En effet, la trace blanche sur le dos de sa main était toujours présente. Bien qu’il ait dominé en grande majorité son Hollow, ce dernier pouvait toujours refaire surface. Pourtant, le Vizard continua son entraînement, pour savoir comment garder son masque le plus longtemps possible. Au départ, il ne le gardait qu’une dizaine de secondes, mais plus ça allait, plus son endurance augmentait. Soyo réussit ainsi à garder son masque à peu près deux heures.


description de l'arme ou du / des pouvoir(s)

Comment avez-vous connu le forum?:

Grade désiré(division/etc)

Test RP Seulement pour les personnages de trés haut niveau.